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Cinquième édition du bulletin régional Le Pic-Bois, "Pour en finir avec le travail", maintenant en ligne !

category amérique du nord / mexique | luttes en milieu de travail | nouvelles author Saturday October 24, 2015 09:06author by Collectif Emma Goldman Report this post to the editors

Le Pic-Bois est un bulletin d’information libertaire régional publié au Saguenay depuis 2010. Diffusé par le Collectif anarchiste Emma Goldman et ses ami-e-s, le Pic-Bois met de l’avant la construction d’alternatives sociales et d’un pouvoir populaire pour changer la société ici et maintenant. Oiseau tapageur et rebelle, le Pic-Bois vous informe et sensibilise pour rompre avec l’ordre établi.

Ce cinquième numéro est entièrement consacré à la question du travail. Il a pour but de susciter des réflexions critiques et des débats à propos de cet élément majeur (et accapareur) de nos vies en système capitaliste. Si vous souhaitez faire la distribution du journal sur votre campus, dans votre voisinage ou dans votre lieu de travail, sentez vous bien sûr libre de faire des photocopies à partir du fichier que l'on joint ici.

Des centaines de copies en ont déjà été distribuées, notamment à l'occasion du Bazar de l'Imprimé et du Nouveau Graphisme (BING) à Chicoutimi. Vous aurez également la chance de vous en procurer des copies lors de prochains événements.

Le Pic-Bois n°5 (format PDF) est disponible en ligne par téléchargement à cette adresse. http://dl.free.fr/wcdmym3dR

De son bec solide, le Pic-Bois s’engage dans un perçage difficile, mais avec la force du nombre il vaincra! Les éditions précédentes du bulletin sont toujours en ligne (et encore d’actualité).

• No.1, 2010 – Sur les « régions ressources » - http://ucl-saguenay.blogspot.ca/2010/02/sortie-de-notre....html
• No.2, 2011 – Sur le Racisme au Saguenay-Lac-St-Jean - http://ucl-saguenay.blogspot.ca/2011/06/deuxieme-paruti....html
• No.3, 2012 – Sur les Radios-Poubelles - http://ucl-saguenay.blogspot.ca/2012/10/troisieme-parut....html
- No.4, 2015 - Sur le Colonialisme - http://ucl-saguenay.blogspot.ca/2015/03/quatrieme-parut....html

Texte intégral :

Pour en finir avec le travail

Vous payerez cher. Vous payerez tout. – Slogan de l’Autonomie.

Ils l’avaient dans leur mire et ils l’ont confirmé lors de leur dernier congrès, les Libéraux souhaitent repousser l’âge de la retraite de 65 à 67 ans. Une autre attaque contre les travailleurs et travailleuses qui subissent déjà de plein fouet une série de mesures d’austérité. Pour eux, ce n’est pas encore assez. Il faut presser le citron au maximum. Alors que les politiciens et politiciennes augmentent leur salaire sans cesse, reçoivent de multiples primes, dont une quand ils « quittent » la vie politique et se dotent de parachutes dorés, ils osent attaquer la retraite des travailleurs et travailleuses. Selon Couillard, « On ne peut plus se payer ce genre de luxe là. » (de la retraite à 65 ans). Il n’y a aucun luxe dans le fait de passer la majorité de sa vie à travailler pour enrichir gouvernements et patrons. Bien souvent en détériorant grandement notre santé avec le stress, la pression, les emplois physiques et en contact avec des produits toxiques, etc.

Détruire le travail

Les ouvriers ne vont pas à l’usine pour faire des enquêtes mais parce qu’ils y sont contraints. Le travail n’est pas une façon de vivre. Mais l’obligation de se vendre pour vivre. Et c’est en luttant contre le travail, contre cette vente forcée d’eux-mêmes qu’ils se heurtent aux règles de la société. Et c’est en luttant pour travailler moins, pour ne plus se laisser empoisonner par le travail qu’ils luttent aussi contre la nocivité. Car il est nocif de se lever tous les matins pour aller travailler, il est nocif de suivre les rythmes, les modes de la production, il est nocif de faire les roulements, il est nocif de rentrer chez soi avec un travail qui te contraint le lendemain de retourner à l’usine. – Assemblée autonome de Porto Marghera, 1974.

Il est visiblement temps de repenser la façon dont on conçoit le travail. L’usine, longtemps vue comme le champ de bataille de premier plan, et qui, à une certaine époque, a amené une amélioration des conditions de vie, concentre de moins en moins de travailleurs et travailleuses (en dehors de l'extraction des ressources naturelles), au profit des secteurs de travail « improductif » (ex. services, communication, etc.). Le nombre de grèves ouvrières au Québec est en baisse. Par une division internationale du travail qui accroît sans cesse les inégalités et les délocalisations, la société de consommation accorde un mode de vie privilégié de « made in China » aux Occidentaux; le confort aliéné. Avec l'accroissement des masses d'exclu-e-s du travail et du précariat, la lutte des classes dépasse aujourd'hui largement nos milieux de travail. Nos quartiers, terrains de jeux des capitalistes et promoteurs immobiliers, sont également des aires de hautes luttes. La spécialisation et l’atomisation des emplois ont profondément atteint le pouvoir de la classe ouvrière en tant que force sociale d'opposition et lui ont en partie fait perdre la position stratégique qu'elle occupait. La classe ouvrière à laquelle se référaient les auteur-e-s classiques du mouvement anarchiste a profondément changé. Cette dernière, loin d’être figée dans le temps, subit des recompositions au gré des transformations du Capital qui se restructure sans cesse.

Après avoir gagné leur accès au travail de longues et dures luttes, les femmes voient aujourd'hui la précarisation et les mesures d'austérité menacer ces acquis. La question du travail, c'est également la double exploitation que subissent les femmes à travers le travail domestique non rémunéré. C'est ce qu'on appelle la sphère de « reproduction ». Ce travail invisibilisé est utile au système car il fait en sorte de « libérer » des personnes pour aller travailler pour des capitalistes à la place. Quand on y pense c'est ridicule et illogique. La répartition inégale des tâches ménagères, sous couvert d'explications biologiques mysogynes, sert l'intérêt des capitalistes.

Toutefois, une chose demeure : les travailleurs et travailleuses sont le moteur du développement du capitalisme. Ils assurent la production et la consommation nécessaire au système pour se reproduire. Devant un tel paradoxe où les travailleurs et travailleuses exploité-e-s reproduisent ce système d’inégalités et d’oppression, le refus du travail devient donc un moyen de lutter contre le capitalisme et son flux de marchandises. Ainsi, c’est par ce refus que le travailleur et la travailleuse cessent d'être des rouages de la machine et transforment leur identité assujettissante en une identité de combat. Cette transformation ne tombe pas du ciel, ni généralement des meilleurs livres théoriques. Elle se construit à travers une gymnastique révolutionnaire de grèves, de manifestations, d’occupations, d’assemblées, de débats, etc.

S’organiser sur des bases autonomes

« Tout commence le jour où ils font une assemblée sans les bonzes du syndicat ». - Extrait du journal Rosso, Groupe Gramsci de Milan sur les ouvriers des ateliers de Mirafiori à Turin (1973).

Cette destruction du travail ne peut pas se faire par l’entremise de syndicats bureaucratisés, affairistes et jaunes. Par leur collaboration avec les patrons et le gouvernement, ceux-ci sabotent les efforts de lutte des travailleurs et travailleuses.

L’auto-organisation en comité autonome pourrait apporter aux travailleurs et travailleuses des gains directes par la reprise du pouvoir collectif. Personne d’autre qu’eux et elles sont mieux placé-e-s pour juger de leurs conditions et des luttes à mener sur le terrain. Ces comités autonomes de travailleurs et travailleuses servent d’école d’apprentissage, de lieu de solidarité et de moyens d’organisation pour mener la lutte dans nos lieux de travail. Il ne s'agit plus de « mieux gérer » notre boulot, mais de repenser la production selon nos besoins et nos désirs, en rupture avec le capitalisme.

Sur la lutte des comités autonomes ouvriers, l’expérience à l’usine Mirafiori de Turin s’avère des plus révélatrices. En s’auto-organisant, les ouvriers ont réussi à bloquer la plus grande usine d’Europe et de mettre en action le refus du travail et l’appropriation du territoire en sortant leur lutte du cadre de l’usine. Il ne s’agissait pas de mieux faire fonctionner l’usine, mais de la détruire comme agrégat de domination, d’oppression, d’exploitation et de souffrance. Les ouvriers ne voulaient plus produire des marchandises qui iraient alimenter le flux global de la production. Ils désiraient créer le nécessaire pour combler leurs besoins de base.

Amener la lutte sur le territoire : Changer la vie

Les luttes menées dans nos milieux de travail doivent également investir le territoire et retrouver les combats mis de l’avant dans les milieux de vie. Le capitaliste ne dicte pas seulement les sphères de la production et de la distribution, mais il structure aussi la vie et ses espaces. Nos quartiers sont transformés pour y installer des tours à bureaux, des condominiums, des projets mégalomanes de « Place à l’européenne », etc. Tout cela au prix d’évictions, de répression et de destruction des milieux de vie des opprimé-e-s du système. Les comités de travailleurs et travailleuses ont dans leur intérêt propre de se joindre aux luttes de réquisition des logements, d’occupations de terrain, de résistance aux nouveaux projets immobiliers, des combats menés dans les écoles, dans l’organisation commune de la vie, etc. Il s’agit de mettre en place une autre société, créée d'en bas et à gauche. Au lieu d’attendre de l’État qu’il nous verse des grenailles, nous pouvons nous organiser, entre exploité-e-s, en dehors du système bourgeois et ses valeurs. Créer des zones libérées où les idées et pratiques communistes libertaires sont mises en action. Des alternatives au système qui à terme feront office de contre-pouvoirs. Tout cela dans une perspective révolutionnaire et de défense de nos luttes face au bras armé de l’État, la Police.

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Fri 29 Mar, 10:40

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Depuis janvier 2010, les ouvriers de la construction du Québec sont sans contrat de travail. Pourtant, autant patrons que syndicats avaient annoncé, dès octobre 2009, une négociation exemplaire qui se règlerait pour la date d’échéance des conventions collectives. Pratiquement neuf mois plus tard, les travailleurs en chantiers n’ont toujours pas de conventions de signées et la situation devient de plus en plus tendue.

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Une marée vert pomme à Montréal

Personne ne l'avait vu venir mais le Front commun du secteur public a réussi à mobiliser plus de 70 000 personnes à Montréal le 20 mars dernier. Bien sûr, c'était une parade gentille et hyper-contrôlée mais ça reste impressionnant. La direction des centrales syndicales semble déterminée à obtenir un règlement négocié à n'importe quel prix (tout sauf un décret!). Il n'empêche que le bateau commence à tanguer un peu. Dans le secteur de la santé, le ras-le-bol est généralisé chez les infirmières (y'a même des mini-grèves sur le tas pour refuser le temps supplémentaire), au point où la FIQ (Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec) se sent à l'aise pour demander du même souffle la conciliation et aller chercher un mandat de grève. Même chose chez les profs de la grande région montréalaise qui veulent aussi des mandats de grève et qu'on a vu cet hiver et ce printemps dans les manifs antilibérales. Ailleurs, par contre, c'est encore le calme plat. Seul l'avenir dira si l'automne sera chaud mais c'est un dossier à surveiller.

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Depuis le 13 juillet, près de 3 500 employé-es syndiqué-es de Vale Inco, une compagnie minière canadienne appartenant à la transnationale brésilienne Companhia do Vale Rio Doce (CVRD), sont en grève dans diverses régions, dont plus de 3 000 à Sudbury en Ontario. Le conflit résulte de la volonté de la compagnie d’exiger des diminutions drastiques au niveau des salaires et des conditions de travail, durement acquises dans les dernières décennies, alors qu’au même moment elle affiche des profits records.

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