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No more Presidents Nov 03 20 Is President Donald Trump a threat and danger? Jul 02 20 Estados Unidos, tierra fértil para un nuevo municipalismo Aug 21 18 À la charité capitaliste, opposons une solidarité internationaliste![]() ![]() ![]() ![]() Un texte du numéro 27 du journal Cause commune En dehors des grandes ONG, diverses initiatives en solidarité avec Haïti ont été lancées par des militants et des militantes libertaires afin d'amasser des fonds. Nos camarades de l'organisation Miami Autonomy and Solidarity, qui entretient des liens avec une organisation haïtienne du nom de Batay Ouvriye (Bataille Ouvrière), ont mis en place une caisse de solidarité et un système de récolte des dons vers Haïti. Du côté de l'UCL, nous avons répondu à cet appel international en amassant, via nos membres, sympathisants et sympathisantes, quelques centaines de dollars. Batay Ouvriye est une « organisation ouvrière et paysanne de base qui regroupe syndicats d'entreprise, comités d'usine, associations de travailleurs et militants. Elle travaille à la construction d'un mouvement syndical autonome, combatif et démocratique, et organise ouvriers, travailleurs et chômeurs pour la défense de leurs droits ». Elle est particulièrement présente dans les ateliers clandestins et les zones franches et s'est fortement impliquée dans la grande mobilisation autour du salaire minimum. Actuellement, elle tente d'amasser 300 000 U$ afin de remettre sur pied ses infrastructures et de fournir de l'aide à leurs membres et à leurs familles. |
HauptseiteEs Ley por la Lucha de Las de Abajo Covid19 Değil Akp19 Yasakları: 14 Maddede Akp19 Krizi [Perú] Crónica de una vacancia anunciada o disputa interburguesa en Perú Nigeria and the Hope of the #EndSARS Protests Aλληλεγγύη στους 51 αντιφασίστες της Θεσσαλονίκης Women under lockdown all around the world Solidarity with the Struggle of North American People! A libertarian socialist view of the capitalist and health crisis in the Americas Para las Clases Populares del Mundo, Pandemia, Crisis, Todos los Tiempos son de Lucha Nossa Concepção De Feminismo Na Perspectiva Do Anarquismo Organizado Frente a la Pandemia Capitalista, Solidaridad entre los Pueblos La force des femmes change le monde The competition between Iran and United States over Iraq Beyond Pension Reforms: Interview on the General Strike in France Comunicado de lanzamiento de la Coordinación Anarquista Latinoamericana (CALA) [Colombia] Vamos al Paro Nacional del 21 de noviembre [Catalunya] Una sentència que ataca les llibertats i els drets civils Amérique du Nord / Mexique | Luttes dans la communauté | Nouvelles | fr So 17 Jan, 21:04 Les camarades du Collectif Emma-Goldman (UCL-Saguenay) et du Syndicat des étudiants employés de l'Université du Québec à Chicoutimi ont organisé samedi le 6 novembre une action contre la tarification et la privatisation des soins de santé. [English]
Avec les dernières élections municipales, entachées par les révélations de scandales et de corruption ainsi que par les déclarations d'élus se tapant dans le dos de faire campagne sans véritable opposition, il y a sérieusement affaire à se questionner sur l'état de putréfaction de la « démocratie municipale » au Québec. Les deux dernières semaines n’ont pas été de tout repos pour les politicien-nes du sud-ouest montréalais. Tout d’abord, les récentes élections municipales les ont forcé-es à se mouiller dans le dossier de la réfection de l’échangeur Turcot, qui en plus d’être une catastrophe sur le plan de l’urbanisme, de l’environnement et de la santé, provoquerait l’expropriation de plus de 400 locataires en bordure de l’échangeur actuel. Les candidat-es de ce mauvais feuilleton électoral – qui en ont déjà lourd sur les épaules (et les poches) avec les récentes allégations de corruption et de collusion avec la mafia et les firmes de la construction – n’ont eu d’autres choix que de promettre de s’opposer au projet du gouvernement (qui couterait plus d’un milliard et demi de dollars).
En 2007, le gouvernement libéral, par le biais du Ministère des Transports du Québec (MTQ), imposait aux habitantes et habitants des quartiers Saint-Henri, Ville-Émard, Côte-Saint-Paul ainsi qu’à l’ensemble des quartiers du sud-ouest de Montréal, son énorme projet de réfection de l’échangeur Turcot. Un projet qui coûtera 1,5 milliard de dollars sur sept ans et aura un impact environnemental énorme en plus de provoquer l’expropriation d’environ 170 logements, soit près de 400 personnes. Ces locataires seront évidemment faiblement dédommagé-e-s (trois mois de loyer et les frais de déménagement) en plus d’être laissé-e-s à eux-mêmes dans un marché locatif en pénurie, alors que 86 % des familles dans Saint-Henri sont locataires. Pour couronner le tout, la principale raison des expropriations repose sur le fait que le projet du MTQ consiste à reconstruire à côté des structures actuelles et sans arrêter la circulation, un nouveau réseau routier, entrainant ainsi la destruction de ces logements. Un projet dont le manque de vision est largement dénoncé par divers urbanistes et architectes qui prônent plutôt une vision à long terme de développement urbain à l’exemple de villes telles que San Francisco. En fait, quoi de mieux qu’en période de crise que de créer des grands projets d’infrastructures aux frais de la population et au détriment de l’environnement afin de relancer la machine capitaliste?
Le 9 août dernier, à l’appel de la CRAP (Coalition contre la répression et les abus policiers), avait lieu une manifestation à la mémoire de Fredy Villanueva. Un an après sa mort, tout porte à croire que la société québécoise en entier met tout en œuvre afin de donner raison aux émeutiers et aux émeutières. Depuis son arrivée au pouvoir, le maire de Québec, Régis Labeaume, n’a qu’une idée en tête : assurer coûte que coûte le développement économique de «sa» ville. Et tant pis pour le reste! Quand les résidants et les résidantes d’un secteur décident de se regrouper pour s’opposer à la destruction d’un boisé ou la tenue d’un événement touristique particulièrement dérangeant, Labeaume sort ses crocs. Avec lui, les promoteurs en tout genre ont trouvé un allié précieux, capable d’écraser l’opposition populaire quitte à s’allier aux radios poubelles pour s’assurer la victoire. Nous exigeons, l’arrêt de la répression à l’encontre de toutes celles et tous ceux qui, depuis la base, et à gauche, construisent des modes de vie, de communication et de cohabitation alternatifs, comme le font les peuples d’Oaxaca. Respect de l’autodétermination des communautés indigènes et l’arrêt de leur militarisation Pour la défense de nos cultures, de la terre et du territoire Contre les entreprises multinationales et leurs projets mensongers, mortels et de destruction de la nature Vive l’autonomie des peuples d’Oaxaca
La Fédération québécoise pour le planning des naissances a lancé une campagne pour défendre le droit à l’avortement au Canada. Le Parlement étudie présentement le projet de loi C-484 du député conservateur Ken Epp qui vise de façon détournée à interdire l’avortement. Concrètement, le projet de loi veut modifier le Code criminel et faire reconnaître comme une infraction le fait de blesser ou de causer la mort d’un enfant non encore né, donc du fœtus. Bien que les défenseurs de ce projet de loi déclarent vouloir mieux protéger les femmes enceintes contre la violence, le cœur de l’enjeu est la reconnaissance des droits du fœtus
Environ 250 locataires ont défilé à Québec, le 11 mars, à l’appel du FRAPRU. Ultime pression avant le dépôt du budget provincial, la manif était également prétexte à annoncer le Camp des 4 sans qui aura lieu cet été, en plein 400e anniversaire de la Ville de Québec.
Ceci est une déclaration conjointe de First of May Anarchist Alliance et The Utopian: A Journal of Anarchism and Libertarian Socialism. Nous devrions viser à convaincre le mouvement que le problème actuel aux États-Unis ne concerne pas seulement Wall Street, les entreprises ou le fait que le système économique est actuellement « manipulé » ou « truqué » par des individus égoïstes et rusés. Nous devons expliquer que la source de la crise c'est le système capitaliste lui-même, un système où la production n'a lieu que lorsqu'elle génère des profits qui sont ensuite en grande partie accaparés par la minuscule élite qui dirige le pays. Ainsi, nous devrions chercher à démontrer au mouvement que son objectif utlime devrait être la démocratisation radicale de toute notre société, ou, en d'autres mots, une révolution, par laquelle la vaste majorité de la population saisit des riches le contrôle de l'économie et du pays dans son ensemble pour ensuite disperser le plus largement possible le pouvoir et le contrôle direct sur tous les aspects de la vie sociale. Conséquemment, nous devrions proposer et appuyer les revendications radicales qui à la fois soutiennent cette perspective et unissent les secteurs de la population aussi largement que possible. [English] Articles reliés : Le politique évité : réflexions sur le mouvement « Occupons X » Des places publiques, jusqu’aux pâtés de maison, jusqu’aux lieux de travail : Propageons les occupations au milieu du tourbillon de la crise
Un mouvement est né. À travers les États-Unis et le monde, les occupations se sont propagées. Nous sommes témoins de la beauté et de la lutte d’un nouveau protagoniste joignant le combat contre l’oppression et l’exploitation.
Cet automne, les villes québécoises seront en campagne électorale. Avec quelques 8000 postes à combler, on imagine déjà des débats enlevants et relevés, à l’image de notre vigoureuse démocratie municipale... En fait, pas vraiment. Si les élections réussissent à attirer l’attention de la majorité, ça va être une grande surprise.
Cette année encore, le FRAPRU récidive et publie son Dossier Noir «Logement et pauvreté au Québec». Cette brochure, qui tente de montrer le vrai visage de la «belle province», révèle des chiffres préoccupants à défaut d’être surprenants. On apprend entre autres que les locataires ont, en moyenne, un revenu 16,6% plus bas quʼen 1981(toutes proportions gardées). Pendant ce temps, le loyer a augmenté bien au-delà du coût de la vie. Le coût des logements est tellement élevé que cela se manifeste par une augmentation importante du nombre de recours pour non-paiement introduits par les proprios à la Régie du logement : 14,4% depuis 2001. De 1995 à 2004, le nombre dʼévictions à Montréal a même augmenté de 120%!
Du 26 au 28 juin, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) organise à Québec le Camp des «4 sans». L’action vise à permettre aux «sans toit», aux «sans l’sou», aux «sans droits» et aux «sans voix» de prendre le haut du pavé en occupant pendant quelques jours un lieu au cœur des festivités marquant le 400e anniversaire de la Ville de Québec. Pour le FRAPRU, l’objectif est «de frapper l’imaginaire par une mobilisation exemplaire dans le but de faire avancer la cause des locataires». more >>
Il y a quelque temps, au Saguenay, Michael Labbé, un compagnon Autochtone participant de plusieurs éditions de la Marmite Autogérée, a rendu l’âme au cours de l’incendie tragique de la maison de chambres où il avait trouvé toit.
Le 1er mai 2010, la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics a lancé un appel à la constitution d’un large front social, déterminé à poser des actions qui ébranleront le gouvernement. Cet appel se situe dans la continuité de la lutte contre le budget antisocial adopté par le gouvernement du Québec le 30 mars dernier. |